🧘🏻♀️ Ce sont les positions des doigts que prennent les yogis pendant leur pratique de la méditation
👌 Elles permettent de réguler l’énergie du corps pour mieux la répartir et apporter un bienfait rapidement.
Car oui, l’énergie circule en nous !
C’est celle-là même qui va parfois nous donner l’impression d’avoir les jambes lourdes, comme si nous avions des boulets aux chevilles. Ou alors, quand nous nous sentons épuisé, fatigué, vidé.
C’est de cette énergie-là dont il s’agit.
J’ai découvert cette pratique tout à fait par hasard en voulant aider un jeune garçon hyper colérique à s’apaiser seul et facilement.
Je cherchais une technique complémentaire à l’approche des réflexes archaïques, du Braingym et du Touch for Health.
Je voulais quelque chose de
FACILE à faire
et surtout ACCESSIBLE à TOUT MOMENT
et en COMPLÈTEAUTONOMIE
Parce que parfois les parents ou les conjoints ne sont pas disponibles pour aider à faire les mouvements réflexes ou parce que, tout simplement, on veut faire quelque chose pour soi, seul(e), sans dépendre d’un(e) autre.
Parce que les MUDRA peuvent se pratiquer
PARTOUT
A TOUT MOMENT
A TOUT AGE
1 min ou 1h
Alors, je me suis formée pendant 4 mois intensifs à cette belle pratique que sont les MUDRA.
Est-ce que j’utilise les MUDRAS pour moi ?
Oui ! J’aime tirer au sort 2 cartes en début de journée. Et le hasard a bien fait les choses ce matin J en me proposant de renforcer mon équilibre émotionnel pour donner du sens, persévérer et développer la confiance en soi afin de faire les bons choix et s’adapter aux circonstances.
En ce début d’année intense qui demande adaptation quotidienne, c’était l’idéal !
Alors : comment se servir des MUDRA dans la vie au quotidien ?
Il y a quelques jours une puce m’a dit avoir fait un cauchemar et avoir peur de se coucher le soir parce qu’elle ne voulait pas que son cauchemar revienne.
Alors je lui ai montré les 3 petits gestes que vous retrouvez dans la photo ci-dessus qu’elle pouvait faire pour se calmer :
✨ Majeur contre majeur pour faire non pas 1 mais 2 doigts d’honneur à son cauchemar (quand on est petit on adore faire ce qui est interdit non😜?) Sinon, pour digérer ce qui vient de se passer
✨ Poings fermés et bras croisés devant la poitrine Comme si l’on mettait sa cape d’invisibilité pour ne plus être vu par sa peur
✨ Eventail avec ses mains Comme si l’on voulait avoir un bouclier entre soi et ce qui fait peur
Quelque temps, après cette même puce m’a dit faire les « petits gestes des mains » et qu’elle se sent mieux dans son lit
Alors , la prochaine fois qu’un épisode cauchemar vous réveille, pourquoi ne pas essayer ces MUDRA?
J’ai découvert cet outil en écoutant le podcast Change Ma Vie de Clotilde Dusoulier et le pratique désormais régulièrement.
L’idée est simple.
Toute la journée, nous sommes traversés par nos pensées.
Nous cultivons un dialogue intérieur en refaisant le monde et en revivant des situations passées :
« J’aurai du dire ça »
« La prochaine fois je ferai comme ceci, je lui répondrai cela »
Ce dialogue intérieur et ces pensées constantes utilisent notre énergie et impactent directement notre manière d’être avec nous-même et avec les autres.
Il est bon, parfois, de s’alléger pour pouvoir être pleinement à ce que l’on fait. J’y vois un bienfait rapide sur l’acceptation de nos émotions et une diminution de la chargementale.
Alors, concrètement, comment cela se passe-t-il ?
👉 Prendre un cahier ou une feuille
👉 Et sur un temps limité (je me laisse 5 min maximum), noter les pensées qui vous passe par la tête.
Vous n’avez toujours rien qui vous vient en tête ?
Notez comment vous vous sentez de constater que rien ne vous vient à l’esprit .
Sortir les phrases que l’on a dans la tête, les rend tangibles et permet de les observer pour pouvoir les séparer de soi et éventuellement changer de perspective.
J’aime proposer cet outil dans les ateliers ZYBRA, notamment « La Surcharge Mentale ».
C’est toujours intéressant de constater que malgré la question « comment vous sentez-vous ?» ou « comment souhaitez-vous vous sentir aujourd’hui ? », les participants en profitent pour faire leur to-do-list !
La connexion à soi-même, à l’ETRE, est toujours plus compliquée que la connexion à ses taches, au FAIRE 😉 !
Après leportrait d’enfants, et d’adolescents,allons voir maintenant des motifs qui peuvent amener des adultes à entamer un accompagnement psychocorporel.
Que l’on soit parents, professionnelsouretraités, la vie nous réserve parfois des sources de stress entrainant réactions émotionnelles, comportementales ou physiques.
L’objectif du suivi est de permettre à la personne de retrouver un équilibre qui lui convient dans les situations qu’elle vit.
Voici donc quelques portraits robots de situations pouvant entrainer un besoin d’accompagnement, généralement sur des périodes plus courtes que pour les enfants et les ados.
Comme toujours, ces portraits robots sont écrits au masculin mais sont tout à fait transposables au féminin !!
Hypersensible et haut potentiel, J. est souvent sujet à des montagnes russes émotionnelles. Il ne supporte pas le bruit. L’injustice le met dans une colère folle. Jeune papa, il ne veut pas donner l’image d’un père « soupe au lait » à son bébé. Il se sent nul, bête, incapable malgré tous les livres de gestion des émotions qu’il a pu lire. Pourquoi n’arrive t-il pas à appliquer les conseils pourtant facile à mettre en place sur le papier ?
Y. est épuisé. Il est régulièrement convoqué à l’école pour parler des difficultés d’apprentissage de son enfant et de ses problèmes de comportement. Il ne sait plus comment gérer son enfant. Il a l’impression d’avoir tout essayé : empathie, punition, suivi, rien ne semble fonctionner. Il ne veut plus aller à l’école de peur de se faire alpaguer par le professeur. La vie à la maison est tendue. Il en arrive à ne plus supporter son enfant. Et il s’en veut terriblement d’oser ressentir ce rejet.
G. a pris en charge tous les suivis pour sa fille depuis plusieurs années. Sa vie consistait à courir de spécialistes en spécialistes, jongler entre son agenda professionnel et les besoins de ses autres enfants. Aujourd’hui, sa fille est autonome. Les suivis se sont espacés jusqu’à s’arrêter complètement. Alors qu’il est heureux pour elle, T. se sent perdu. Il a l’impression d’être inutile, d’avoir perdu sa place de parent.
R. a mis sa vie professionnelle de côté pour s’occuper de sa famille. Les enfants étant maintenant tous scolarisés, il ressent un manque. Il se sent irritable, aigri. Il sait qu’il a besoin de s’épanouir professionnellement mais se sent coupable. N’est-il pas égoïste de penser à lui alors que ses enfants ont encore besoin de lui ?
N. a quitté sa famille et ses parents pour s’installer près de son établissement d’études supérieures. Il adore sa vie étudiante et s’épanouit dans cette nouvelle étape de sa vie. Toutefois, à l’approche des partiels ou de recherche de stage, son corps lui joue des tours : plaques rouges sur le buste et dans le creux des coudes. Plus le stress monte, plus son sommeil devient difficile à trouver.
D. est consciencieux et professionnel. C’est un expert reconnu dans sa société et son équipe compte sur lui. Même si le contexte est difficile, il tient bon, recherche des solutions et met les bouchées doubles et travaille en permanence. Impossible pour lui de faire une pause pour se reposer malgré les signes de fatigue que son corps commence à montrer : troubles intestinaux, tendinites et douleurs dorsales.
M. est un sportif de haut niveau. Il ressent le besoin de s’améliorer sur 2 aspects : la gestion des émotions et l’équilibre. En plein match, il se sent basculer et devenir pessimiste. Bloqué émotionnellement, il rate chacune de ses actions. Du côté de l’équilibre, certains gestes lui posent problème. Au ralenti, il réussit à les réaliser le mouvement idéal. En pleine action, il a l’impression de perdre l’équilibre ce qui entraine une précipitation et des points ratés « bêtement ».
P. est dyspraxique. Il présente également des signes de troubles attentionnels et d’hyperactivité. Il a du mal à s’organiser, paraît brouillon est souvent en retard. Il fait des efforts mais a l’impression d’avoir son manager sur le dos en permanence. On lui reproche de ne pas être consciencieux, de ne pas être fiable. Il voudrait progresser mais ne voit pas comment évoluer.
L. a la cinquantaine et en pleine reconversion professionnelle. Sa formation est terminée, ses études de cas validées. Il est officiellement certifié dans sa nouvelle profession. Alors que ses collègues de promotion ont du mal à vivre le manque de clients, lui, a du mal à se lancer. Il a eu quelques opportunités, mais n’a pas encore osé franchir le pas lui permettant d’accompagner son 1er client. Il se sent bloqué, malgré l’envie de s’épanouir dans sa nouvelle vie professionnelle.
P. profite de sa retraite pour s’adonner à sa passion : le piano.Il prend soin de garder la forme en pratiquant du sport. Il est à jour de ses suivis médicaux et ostéopathiques. Depuis quelques temps, malgré les gammes qu’il fait pour s’échauffer, il trouve que ses doigts sont raides, plus difficiles à bouger.
La retraite a sonné pour M. Il va enfin pouvoir partir s’installer dans la région de son cœur. Sa femme est déjà sur place. Alors qu’il devrait se sentir heureux, il se sent dépassé, fatigué. Il a l’impression de tout gérer seul, de ne pas pouvoir y arriver. Depuis qu’il prépare les cartons de déménagement, il s’est bloqué le dos et perd l’équilibre, il a l’impression d’avoir la tête qui tourne régulièrement.
L’objectif est de mieux comprendre dans quelles situations les suivis psychocorporels sont entamés.
Bien entendu, il ne s’agit là que de quelques exemples non-exhaustifs, écrits encore une fois au masculin.
T. est au collège. Il travaille beaucoup mais ses notes sont moyennes. Il connaît ses cours à la maison, mais perd ses moyens dès qu’il arrive en cours. Très nerveux, il tripote ses doigts, se gratte le bras, les cuisses quand on lui parle. Il a très peur d’être interrogé par un professeur. T. s’est fait harcelé et si aujourd’hui c’est terminé, il n’arrive pas à se sentir confiant en allant au collège.
Le suivi psychocorporel a pour objectif de casser l’association émotionnelle qu’il s’est faite du collège pour lui permettre de développer sa confiance en soi et son estime de soi.
M. est étiqueté « rebelle ». Il dit qu’il « n’aime pas les gens ». Il ne comprend pas leur humour, ne supporte pas le bruit du lycée, la lumière trop vive des néons ou du soleil qui passe par les grandes fenêtres des salles de cours. Alors il s’est construit une carapace pour mettre à distance les autres. Il arbore un regard peu avenant, se cache derrière un look de rebelle, porte un casque pour s’isoler, répond vertement à ceux qui l’interroge.
Ne sachant que faire de son hypersensibilité, M. se cache derrière une fausse insensibilité. Le suivi lui permet de mieux ressentir ses sensations pour pouvoir les apprivoiser et en diminuer l’impact douloureux.
F. est dyslexique. Il ne veut plus être remarqué et n’a donc plus d’AVS, même s’il a encore un PAP. Mais cette année, il souffre particulièrement : le collège représente beaucoup de travail et tous les professeurs n’appliquent pas son PAP.
Sa dyslexie le ralentit dans son travail. Parfois, il profite des pauses pour terminer ce qu’il n’a pas eu le temps de finir en cours. A la maison, il travaille dure et longtemps, ce qui le fatigue beaucoup. Ses notes sont moyennes malgré tout le travail effectué et sa confiance est en berne.
Le suivi lui permet de développer une meilleure coordination gauche/droite. Il gagne en équilibre dans son corps et a moins besoin de suivre les textes avec une règle ou son doigt. Sa vitesse de lecture augmente et il comprend mieux ce qu’il lit, ce qui lui permet de travailler plus vite.
Les notes de cours de A. sont des bouts de phrases qui tiennent sur 3-4 lignes maximum. Ses cours sont incomplets et ses notes s’en ressentent. En évaluation, A. a du mal à justifier son raisonnement ou ses résultats.
En fait A. n’aime pas écrire. Il évite de prendre le stylo dès qu’il le peut. Son écriture ressemble à des pattes de mouche. Quand il écrit, il sent que tout son bras et sa nuque se contractent. Alors au fil du temps, il a rejeté l’écriture.
Le suivi lui permet de détendre la nuque et de reprendre conscience de l’existence de son bras, puis de son poignet et enfin de ses doigts. Sa tenue du stylo est moins crispée ce qui lui apporte un meilleur confort.
T. est dyspraxique. Il a du mal à se repérer dans le temps et dans l’espace. Il est souvent habillé « comme l’as de pique », ses cours sont désorganisés. A la cantine, il mange affalé sur la table en tenant ses couverts de façon peu commune. Elève un peu à part, il est mis à l’écart en cours de sport parce qu’il est maladroit, n’arrive pas à rattraper les ballons et court bizarrement. Selon son humeur, il fait le clown pour se faire remarquer ou reste de côté en attendant que la journée se passe.
Le suivi permet à T. de mieux comprendre son organisation corporelle. Il est plus stable sur ses pieds ce qui lui permet de développer sa motricité globale et plus fine. Il devient plus soigneux.
B. est très colérique. Il est en opposition avec ses parents et toute forme d’autorité. Ses crises sont nombreuses et démesurées dans les gestes, les propos et la durée. Il tape dans les murs, jette les objets, insulte et en arrive parfois à avoir des gestes très violents envers l’adulte. Il veut tout, sans contrainte. La discussion avec lui est très difficile voire impossible.
L’accompagnement psychocorporel est complémentaire au suivi psychologique. Toutefois, B. refuse catégoriquement d’aller voir un psychologue.
L’approche psychocorporelle lui permet de prendre soin de ce qui lui importe (ses biens : téléphone, tablette, casque, ….) sans avoir à parler. Ses crises de colère diminuent en intensité et en durée.
P. est étudiant. Il a quitté son domicile familial pour s’installer près de son école. Il découvre l’autonomie et la vie seul ce qui lui plait énormément tout en l’angoissant en même temps. Assidu, bon élève, l’approche des partiels le stress. Il dortmal et son corps se rappelle à lui en réagissant sous forme de problèmescutanés : plaques rouges, eczema, urticaire ou encore bouton de fièvre.
P. vient pour un rééquilibrage psychocorporel dès qu’il en ressent le besoin afin de pouvoir travailler sereinement sans réaction corporelle désagréable.
Pas toujours facile de savoir quand ou pourquoi entamer un suivi psychocorporel. Alors pour rendre cela plus concret, je vous propose une série des portraits robots :
Enfants (primaires)
Ados (collège – lycée – étudiants)
Adultes
Parents
Seniors
Toute ressemblance étant parfaitement fortuite, il se peut que vous ayez l’impression de retrouver vos enfants ou vous-même dans ces descriptifs.
Normal : les caractéristiques décrites sont celles que nous pouvons fréquemment rencontrer lors de nos suivis.
Pour faciliter l’écriture, j’ai choisi de faire ces portraits robots au masculin. Bien entendu, je vous invite à les lire au féminin pour mieux vous les approprier 😜 !
Alors, allons y pour les enfants en primaire !
C. est un garçon vif, sportif, curieux. Toujours en action, il saute, fait des roulades tout en vous parlant. Il ne marche pas : il court. Très à l’aise lorsqu’il arrive quelque part, il touche à tout ce qui attire son regard, visite les lieux. Il peut se montrer assez impulsif, bavard.
En classe, il se fait remarquer. Son professeur dit qu’il est hyperactif. Il fait du bruit, n’arrive pas à faire attention, se balance sur sa chaise ce qui énerve ses camarades et coupe souvent la parole. Il ne peut pas s’en empêcher.
A la maison, il ne tient pas en place. Lorsque sonne le moment de faire les devoirs, il gigote sans cesse, n’arrive pas à se poser. Et alors, ça dure, ça dure … Les repas aussi sont agités. Il s’assoit sur une jambe, trouve toujours une occasion pour se lever. Lorsque le coucher approche, il a du mal à s’endormir.
Un suivi en réflexes peut lui permettre de désensibiliser son corps trop sensible qui le pousse à bouger sans cesse afin qu’il puisse se poser sur des périodes de plus en plus longues et développer sa concentration et son attention.
G. se sent à l’aise avec Papa et Maman. Dès qu’il arrive dans un environnementinconnu, qu’il rencontre de nouvelles personnes, il devient tout timide. Il regarde le sol, fuit le regard. Il se colle à ses parents, demande du regard l’autorisation de parler. Lorsqu’on le pousse à répondre, il parle tout doucement.
A l’école, il est sur la réserve et participe peu, seulement quand on lui demande. Il a tendance à ne pas montrer ce qu’il sait faire. Dans la cour, il a peu de copains. Lorsque ceux-ci sont absents, il peut se retrouver seul dans son coin.
A la maison, il est dans son environnement. Il aime les rituels et n’aime pas le changement. Ce qui est prévu est mieux ! Parfois, il se sent submergé par ses émotions et se met dans des colères ou des tristesses démesurées. La séparation lors du couchage est difficile et les rituels sont longs.
Un suivi en réflexe peut lui permettre de se sentir plus en sécurité dans son corps et par conséquent dans son environnement. Progressivement, il devient plus confiant et sa voix s’affermit.
On dit de N. que c’est un enfant difficile. Il n’arrive pas à gérer sa frustration et semble être en conflit pour tout. Il cherche à être aimé de l’autre mais s’y prend mal. Lorsqu’il veut jouer, il court vers l’autre, quitte à le bousculer sans faire exprès. S’il reçoit une réponse qui ne va pas dans son sens, il explose, tape, insulte.
A l’école, il est souvent puni pour son comportement. Il montre des aptitudes à l’apprentissage mais elles ne sont pas valorisées. Son attitude est au centre des discussions entre le professeur et ses parents. Pourtant à la maison, il est plutôt gentil, attentionné. Alors il fait de gros efforts à l’école pour ne pas se faire remarquer. Et là, c’est à la maison qu’il explose et se met dans de grosses colères.
Un suivi psychocorporel lui apportera un apaisement dans sa gestion émotionnelle. Une détente générale lui permettra de sortir de son état de défense pour être plus calme.
H. est un enfant joyeux, rieur, espiègle. Il est suivi par un podologue parce qu’il a tendance à avoir les pieds qui rentrent vers l’intérieur. Cela lui pose un problème en sport et dans la cours de récréation : il se fait des croches-pieds tout seul et tombesouvent ! Il aimerait pouvoir courir plus vite pour jouer au foot avec ses copains, sans risquer de chuter à chaque pas.
Un suivi en réflexe en complément de celui en podologie lui permettra de mieux prendre conscience de ses appuis, de désensibiliser ses pieds chatouilleux pour progressivement réduire le besoin des semelles.
V. est en CM1 ou CM2. Bon élève, c’est un enfant bien dans sa peau, qui a des activités extra-scolaires qui lui plaisent et qui est bien entouré. Il aimerait pouvoir inviter ou être invité à des soirées pyjamas mais il ne peut pas. Son problème, c’est qu’il fait encore pipi au lit. Avec ses parents, ils ont tout essayé. Lorsqu’il enlève les couches, il se réveille tout mouillé. En journée, il lui arrive d’avoir des accidents. Il ne sent pas toujours quand il a en envie d’aller faire pipi. Souvent, lorsqu’il le sent, c’est déjà un peu trop tard et il commence dans ses sous-vêtements.
Le suivi psychocorporel peut agir sur plusieurs niveaux : comprendre la place de chacun dans le cercle familial, se reconnecter à ses sensations pour être alerté plus tôt de son envie d’uriner et désensibiliser les zones du corps qui déclenchent la vessie.
P. est rêveur, calme, gentil. A l’école comme à la maison, il faut lui répéter plusieurs fois les consignes avant qu’il ne s’y mette. Il a besoin d’être soutenu par l’adulte lorsqu’il réalise les taches qu’il a à faire : s’habiller, ranger, écrire, manger …. A l’école, il est un peu en retard par rapport aux enfants de son âge. Il veut vraiment bien faire, s’applique, mais ça lui prend du temps. Parfois, il s’énerve parce qu’on lui répète les choses et qu’il aimerait bien qu’on arrête de lui dire tout le temps ce qu’il a à faire. Dans la cour, il a du mal à jouer au ballon, à shooter dedans ou à l’attraper avec ses mains.
Le suivi lui permet de mieux s’organiser dans son corps pour gagner en équilibre et être plus stable. Sa conscience corporelle se développe, son langage est plus fourni, son apprentissage scolaire se remet en route.
Dis….. c’est quoi les « Réflexes Archaïques » ? Et c’est quoi ton métier ?
🧐 Hum, ce sont de bonnes questions, ça Odette !!
Odette, c’est un petit bout d’femme avec un très gros chignon rose. Odette, elle est très fraiche, toujours de bonne humeur. Et elle pose toujours plein, plein, plein de questions pour comprendre.
Alors j’ai décidé de lui répondre !
Je vais t’ expliquer :
Tu vois, quand tu construits une maison, il faut d’abord s’occuper des fondations sur lesquelles va reposer ta maison pour qu’elle soit solide et qu’elle tienne bien. 🔎 Et bien, les réflexes : ce sont tes fondations.
Ensuite, on va monter les murs, mettre une porte et des fenêtres à la maison. 🧱 Et toi, tu vas développer tes sens, comprendre ton corps, connaître ta gauche et ta droite, apprendre à parler, …
Et après, on va poser la toiture. 🏠 Toi, c’est à ce moment là, que tu vas développer ton autonomie, te faire des amis, et apprendre plein de choses, à l’école et aussi dans ton travail quand tu seras plus grande.
Parfois, le terrain est instable. 🌧️ Il pleut beaucoup, alors la terre se gorge d’eau et ça vient pousser les murs de la maison. 🌞 D’autre fois, il fait tellement sec, que la terre se rétracte et la maison ne repose plus vraiment sur ses fondations.
🤰 Pour toi, c’est peut être que la grossesse était un peu difficile, que ta maman a du rester couchée ou qu’elle a eu des moments de stress, un accident, une maladie, … Ou alors, qu’à ta naissance, tu as voulu arriver un peu trop tôt, ou qu’il y a eu des complications et que tu as été séparée de ta maman pendant quelque temps…
Avec le temps, ces changements sur le terrain, vont venir abimer ta jolie maison. Il va y avoir des fissures, voire même des fois, la maison va pencher sérieusement et risquer de tomber !
Toi, tu vas peut être avoir le corps très tendu, et avoir mal au dos par exemple. Ou alors, ça va être difficile de t’endormir. Ou encore que tu vas te mettre souvent en colère, ou être très timide et ne pas oser regarder les gens ou leur répondre. Et peut-être même que tu vas faire des trucs pour te rassurer (ça s’appelle des tocs). Et pour travailler, ça peut parfois être difficile. Tu n’arrives pas à tout comprendre, à rester attentive ou c’est dur de tout mémoriser.
🩹 Alors, on va venir apporter des soutiens à la maison pour l’aider à se redresser et à devenir stable dans le temps. Certains vont agir directement sur la maison et d’autres, venir renforcer les fondations.
🕵️♀️ Moi, j’interviens sur tes fondations. Et je travaille avec plein de personnes que tu connais peut-être déjà, qui vont eux t’aider à reboucher les trous et les fissures et à te redresser.
Voilà ! C’est ça le travail en réflexes archaiques 😉
Il se fait pipi dessus et il pique des crises. Il faudrait peut-être aller voir un psy, non?! ->>> « Allez, vient Loulou, on va voir quelqu’un pour nous aider avec ces émotions qui prennent toute la place. »
Mais pourquoi venez-vous ? Il va très bien votre enfant ! Par contre, vous, ce serait bien que vous voyiez quelqu’un. ->>> « On arrête tout mon Loulou. Tout va bien! »
Mais dites-moi, il ne serait pas intelligent votre enfant ? ->>> « Viens poussin, on va voir quelqu’un qui va nous expliquer comment tu réfléchis. »
Votre Loulou est HPI. C’est normal qu’il soit frustré. Sa tête va plus vite que son corps. Allez faire de la psychomotricité, ça va l’aider.->>> « Viens Loulou, la personne va aider ton corps à aller aussi vite (enfin presque) que tes pensées. »
Bilan : tout est normal. Les séances ne sont pas nécessaires mais ça lui fait du bien. Alors continuez à venir. ->>> « Non, Loulou, on arrête de venir. Tout va bien, tu n’en as pas besoin.»
Il s’ennuie en classe ! Faudrait peut-être le nourrir intellectuellement. Parce qu’en classe c’est l’enfer. Et puis faites quelque-chose avec ces émotions. Vous dites qu’il est Haut Potentiel, mais il ne sait même pas gérer ses émotions ! Il fait vraiment preuve d’immaturité ! ->>> «Loulou, alors, mardi tu as Judo, mercredi, tu as anglais, samedi matin VTT et samedi après midi Sophrologie. Tu es content, non ? »
Il est dans les nuages, il écrit lentement. Allez voir quelqu’un. ->>> « Vient chouchou. On va voir une graphothérapeute pour t’aider à bien écrire. »
Les leçons ne sont pas bien apprises. Ah, c’est la crise à la maison pour les devoirs ? Faites vous respecter voyons ! ->>> « Je te présente X. C’est un coach scolaire. Il va t’aider les lundis et jeudis à faire tes devoirs. »
Ah, c’est dur à la maison ? Les relations avec ton loulou sont compliquées ? T’as pensé à l’hypnose ? Tu connais les réflexes ? Et l’Orthophonie ? Retourne peut être voir un psy ? …..
STOP ! Papa, Maman, laissez-moi tranquille ! Je ne veux plus voir personne ! J’en ai marre !!!
Ce témoignage, c’est du vécu. Il est réel.
Cet enfant n’en pouvait plus. Il voulait juste « être normal, être comme tout le monde » et arrêté d’être balloté de pro en pro.
Ces parents étaient tendus et n’en pouvaient plus non plus. Ils arrivaient à l’école le soir avec la boule au ventre. Quelle remarque allait-on encore leur faire? Quelle bêtise allaient-ils encore découvrir ? Ils jonglaient au mieux avec leurs agendas pro pour caler les rdv avec les différents thérapeutes en se prenant des remarques de la part de leurs collègues ou managers face à leurs horaires.
Les relations entre parents et enfants devenaient tendues.
Chaque thérapeute et chaque professionnel avait quelque chose d’utile et de constructif à apporter à cette famille. Alors pourquoi cette impression de naviguer à vue, ce qui les a tous tant épuisé ?
Comme pour nombre de familles que je reçois, les suivis se mettent en place parce qu’il faut aller voir tel ou tel thérapeute. Les objectifs de suivi sont souvent très flous, très globaux.
Les améliorations sont donc peu visibles. On se focalise sur ce qui s’accumule, on met des pansements ou des rustines là où il y a besoin. Et l’on court de rendez-vous en rendez-vous.
Vous avez besoin de mettre en place un suivi pour votre enfant. Voilà quelques questions auxquelles il est essentiel de répondre avant de foncer bille en tête :
Par quoi faut-il démarrer ?
Pourquoi ? En quoi cela a du sens ?
Quelle est ma priorité ?
Quel est l’objectif de mon enfant ?
Oui, l’objectif de votre enfant ! Car votre objectif n’est pas nécessairement (rarement même !) celui de votre enfant. Et si l’accompagnement l’aide à accomplir quelque chose pour lui alors il y aura des bénéfices secondaires sur le plan scolaire et émotionnel ;-).
Se poser ces 4 questions, entendre les réponses et rester attacher à cette priorité définie, permet de maintenir la relation avec son enfant, son conjoint et le reste de la famille. Et surtout, les progrès seront plus visibles et durables !
Se dire que c’est nous qui avons fabriqué ce petit être. On regarde chaque nouveau geste, chaque nouveau sourire comme une merveille, un bonheur de découvertes au quotidien. On s’extasie face à la curiosité enfantine, on rit de la maladresse pataude de notre petit homme ou de notre petit bout de femme.
A l’approche de l’entrée à l’école, cet émerveillement laisse place au questionnement, au doute :
Il a marché tard, non ?
OK il a marché tôt, mais il n’a pas beaucoup de vocabulaire, non ?
Ah, il ne s’intéresse pas aux lettres ? Il faudrait peut-être commencer à investir dans les jeux pédagogiques, non ?
Alors, la propreté ? Toujours pas ?! Bientôt l’école, il faut qu’il soit propre sinon, ils ne le prendront pas.
L ‘école débute.
Pour notre loulou, cette entrée à l’école signifie de passer du cocon familial ou de la nounou, à une classe de 25-30 élèves. Cohabitation quotidienne avec les autres. Nouvelles règles à intégrer. Sieste obligatoire. Bruit. Repas collectifs….
En tant que parents, nous en savons peu sur ses journées. Notre « Tu as fait quoi aujourd’hui ? » se conclut la plupart du temps par « J’sais pas – Rien – J’ai oublié ». Notre bout’chou grandit, s’affirme, son caractère évolue et nous perdons petit à petit le contrôle sur ce qu’il vit.
Le regard que nous lui portons évolue également. Il est influencé par les remarques des professeurs, des animateurs, des autres parents. Les comparaisons avec les autres élèves débutent. Le stress de ne pas réussir à faire ou à dépasser ce qui est attendu par les normes s’immisce dans la relation avec notre enfant.
Nos questions ne portent plus tant sur ses centres d’intérêt, sur ses qualités, sur ses découvertes, que sur l’école, son comportement, ses résultats. Nous ne le voyons plus comme Antoine, Marie, Rayan, Paul, Laura, Emma, Yassine, Maryam, Mathis, …. mais comme un élève qui doit savoir faire et rentrer dans les cases avant tout autre chose sinon, il ne pourra pas réussir dans la vie.
Débute alors la course folle du perfectionnisme :
Activités extrascolaires sportives et culturelles pour le nourrir corporellement et intellectuellement
Pédo-psy
Orthophonistes
Psychomot’
Atelier gestion des émotions
Sophrologie
Cours particuliers
Aide aux devoirs, etc….
Du côté de l’enfant, c’est un agenda de ministre qui s’installe avec pas ou peu de moments pour souffler.
Du côté du parent, c’est la course :
Vie familiale, courses, repas, devoirs
Trajets Allers-Retours à faire ou à organiser pour emmener et récupérer chaque enfant à ses diverses activités
Rdv avec l’école, recherche des professionnels pour aider notre enfant à rentrer dans le moule
Réussite de sa vie professionnelle
Gestion des agendas vie pro/vie perso pour caser tout ce qui a à faire.
Les relations Parent – Enfants se tendent.
Pourquoi n’est-il pas reconnaissant de tout ce que vous mettez en place pour lui ? Pourquoi ne fait-il pas d’effort alors que vous vous échinez à faire ce qui est bon pour lui ? Et la relation avec notre conjoint dans tout cela ? Et surtout, où en est la relation avec vous-même ?
Ca vous parle ?
Voici une « technique » toute simple que je pratique quasi quotidiennement qui me permet de sortir de ce tourbillon dans lequel inconsciemment je m’engouffre en tant que parent.
FAITES UNE PAUSE
Que ce soit 1h, une demi-journée, 1 journée ou 1 semaine, prenez un temps rien que pour vous.
Pas de téléphone, pas d’obligation, pas d’engagement. Juste un temps pour soi, pour marcher, pour souffler, pour se reposer.
Un temps pour ne FAIRE RIEN. Ce temps n’est pas un temps « perdu ». Ce n’est pas un temps à ne rien faire. Non, c’est un temps où vous faites justement. Et ce que vous faites… et bien…. c’est RIEN ! En ne faisant RIEN, vous ressentez, vous vous videz la tête, vous vous reconnectez à vous-même.
Vous constaterez qu’après cette pause, vous serez plus disponible et plus à l’écoute des autres.
FAIRE LE POINT SUR VOS RESSENTIS
« Posez votre cerveau » (Je sais, c’est plus facile à dire qu’à faire 😉 mais avec le temps, vous y arriverez !) Que ressentez-vous :
Dans votre corps ?
Dans vos pieds ?
Vous sentez-vous stable ou penché ? Vers l’avant, vers l’arrière ?
Comment est votre respiration : pleine, entière, superficielle, profonde ?
Avez-vous des douleurs quelque part ? des tensions ?
Cet état des lieux vous permet de prendre conscience de ce que vous vivez en ce moment.
COMMENT VOUS SENTEZ-VOUS EMOTIONNELLEMENT ?
Après avoir fait le point sur vos ressentis corporels, allez regarder du côté de vos émotions.
Les émotions vous traversent tout au long de la journée. Elles sont de précieux indicateurs pour vous aiguiller sur comment retrouver votre émotion de base : la joie.
Pour cela, n’essayez pas de les « gérer », mais plutôt de les accueillir pour mieux les écouter. Alors, sans chercher à modifier ce que vous ressentez, dites-vous juste :
Là, tout de suite, je me sens ……
Quand je pense à tout ce que j’ai à faire, je me sens ….
Quand je pense à ma relation avec mon enfant, je me sens …..
DE QUOI AVEZ-VOUS BESOIN ?
Ok, maintenant que vous avez identifié comment vous vous sentez, de quoi avez-vous besoin ? Là, je parle de VOUS et SEULEMENT DE VOUS !
Et oui ! Les parents ont toujours tendance à s’oublier, à se mettre à la place des autres, de leur(s) enfant(s), de leur conjoint , des profs, … C’est ce qui, le plus souvent provoque des crises par la suite.
Alors, là, il s’agit de VOUS et QUE DE VOUS – oui, j’insiste 😉 ! De quoi avez-vous besoin ?
D’avoir des projets, d’avoir des objectifs, d’aller au bout de ce que vous initiez ?
PASSEZ A L’ACTION
Et bien maintenant, il ne vous reste plus qu’à vous mettre en action.
Cette action doit être initiée par vous et que par vous. N’attendez pas que l’autre devine ce dont vous avez besoin.
Vous avez besoin de dormir, allez faire une sieste !
Oui, mais vous avez plein de choses à faire ? Mettez un réveil et octroyez-vous cette vraie pause dont votre corps a besoin.
Vos enfants vous réclament ? Dites leur que vous serez indisponible pendant 15 – 30 min. Que là, c’est un moment rien que pour vous et que vous viendrez les voir après. Ils seront peut-être surpris mais vous verrez qu’ils respecteront ce temps.
A vous de jouer maintenant ! Prenez soin de vous et vous serez dans le rôle du parent que vous souhaitez être 😉
Comment fais-tu pour trouver tes idées, ta motivation ?
Comment fais-tu pour faire tout cela ?
Vous avez peut être remarqué que je cite souvent quelqu’un dans mes posts.
Pourquoi je fais ça ?
Parce que mes idées, je les puise dans ce que je vis au quotidien. Et le quotidien, c’est à la fois ma vie perso et ma vie pro.
Que je sois indépendante comme je le suis aujourd’hui ou salariée, comme je l’ai été pendant 20 ans, ma vie, c’est la somme de mes sphères privée et professionnelle. Parfois, il y a fusion entre les 2, bien entendu.
Ce weekend, j’ai écouté le podcast de la #PopRockStory de Francis Cabrel sur #RTL2. Il a expliqué que pour pouvoir écrire de vraies chansons, il a besoin de vivre la vie. Sinon, s’il s’enfermait pour écrire, il ne ferait que « des chansons de chanteur ». Quelque chose comme ça.
J’ai trouvé que cela résumait parfaitement ce que je vis avec mes idées d’ateliers ou de formation. C’est parce que j’ai vécu quelque chose et cherché des solutions que l’atelier que je souhaite mettre en place prend tout son sens.
Et si moi, j’ai eu un besoin particulier, c’est bien qu’il doit y avoir d’autres personnes qui sont dans la même situation, non ?
En devenant entrepreneure, j’ai découvert le yoyo émotionnel des différentes phases d’un projet. J’ai testé des choses, mis de côté celles qui ne me correspondaient pas et essayé de nouvelles. J’ai vécu l’excitation des projets, la déception des refus et des échecs, l’abattement face à la tonne de travail à réaliser, sauté de joie lors de concrétisation, ….
De tout cela est né l’atelier « Le Yoyo Emotionnel de l’Entrepreneur ».
Idem pour mes autres projets récents :
En étant maman, j’ai découvert le casse-tête des suivis lorsque son enfant est atypique. De là est venu l’idée de l’atelier « Le Meilleur suivi pour son enfant et pour soi ».
En devenant accompagnante psychocorporel, j’ai cherché et continue à chercher des interactions avec d’autres praticiens et thérapeutes. Et zou l’idée de l’atelier « Accompagner en Réseau ».
En rencontrant des professeurs, chefs d’établissements, ATSEM et autres acteurs de l’éducation, j’ai répondu aux questions, pris note des interrogations récurrentes … et hop ! un nouvel atelier « Élèves en Difficulté : Orienter les parents vers le bon suivi ».
Et pour passer à la concrétisation ?
D’abord, je laisse infuser l’idée. J’écoute les coïncidences, les petits signes. Et surtout, je me connecte à mes ressentis. L’avantage d’être hypersensible, c’est d’être très connectée !
Quand « je le sens bien », je suis à peu près sûre que c’est le moment de me lancer. Lorsque « je ne le sens pas », je garde l’idée dans le coin de ma tête pour plus tard … ou jamais.
Ensuite, il faut se connaître. Attendre et tergiverser me fait monter en stress. Alors je préfère me lancer rapidement pour en avoir le cœur net !
Puis vient la réalisation, le fameux jour J. Là, je m’adapte, je ressens encore plus. Qu’est ce qui me fait vibrer ? Qu’est ce qui me rend vivante ? Je n’utilise pas une technique de transmission parce que c’est comme cela qu’il faut faire mais parce qu’elle fait sens pour moi.
Et si c’est la bonne pour moi, alors je transmets d’autant mieux. Ainsi, je peux continuer à progresser, à ouvrir des pistes pour des améliorations, ou mieux pour des parcours d’ateliers !
Et vous, comment naissent vos projets ?
Retrouvez tous les ateliers : https://zybra.fr/actualites/liste/
Je vous remercie pour l’accompagnement effectué depuis décembre. Ces rencontres ont été riches et m’ont permis de découvrir de nouveaux outils pour gérer les moments difficiles.
Les exercices effectués pendant la séance sont plaisants et très faciles à mettre en place au quotidien.
Merci Madame! J’ai l’impression que vous m’avez donné plein de petits trucs qui peuvent paraitre inutiles. Mais je vois comme des petites branches qui les relient les uns aux autres. Et je sens que tout mis bout à bout, j’ai appris plein de choses qui vont m’être utiles maintenant et plus tard aussi !
M.13 ans, participante à l’atelier « Booster mes Talents – Collegiens » de FLYAWAY
J’ai trouvé cette formation complète et très riche. J’ai a-do-ré parce qu’inspirante, transférable rapidement dans un contexte très convivial, sympathique.
Laure, participante à une formation professionnelle
Je voulais juste vous dire que mon fils est métamorphosé! Plus calme, plus raisonnable et plus heureux. Quel bonheur! Je pense que c’est, entre autre, lié à ce que vous lui avez fait. C’est super. J’essaie de penser au massage, lui me le rappelle. Bref, nous avançons…et ce dès la 1ère séance, c’est vraiment encore plus encourageant ! Au plaisir de vous revoir à la rentrée et d’avancer ensemble avec lui.
Je voulais vous féliciter pour votre présentation d’hier. Le sujet et notamment les explications sur les réflexes archaïques et leurs répercussions sur le développement est passionnant.
Je passerai volontiers des heures à vous écouter. Je suis certaine que vous allez faire un excellent travail auprès des jeunes que vous prenez en charge. Alors bravo à vous et continuez ainsi.
Je n’étais pas en accord avec mes émotions et les refoulais, amenant à de mauvaises relations avec mon entourage et à un stress oppressant face à la prochaine « vague » d’émotions.
Grace à l’accompagnement, j’ai réussi à comprendre ces émotions et plutôt que de les restreindre, les accompagner et « dialoguer » avec elles, arriver à un point d’entente. Au bout de quelques séances, à force de discussions, j’ai réussi à vivre beaucoup mieux cette « hypersensibilité ». L’accompagnement m’a apporté un « tuteur » afin de pousser droit et de vivre avec la confiance en soi et en ses capacités de gérance des émotions, nécessaires à une vie de tout les jours plus sereine !
Je crois ne pas l’avoir dit assez mais merci pour tout !
Bérangère est une personne posée, fiable, sérieuse donc rassurante. Bienveillante, ses explications sont claires. Patiente, elle n’hésite pas à répéter et à montrer comment faire.
Carole, participante à une formation professionnelle
Un grand merci à Bérangère qui a su aider ma fille Chloé de 17 ans en méthodologie et lui a permis de mettre en place des stratégies de mémorisation très efficaces
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